Voilà l'été !
Lundi 23 juin: vol du soir à l'Anglettaz (Parmelan) avec Pascal B., Pascal G., Lionel Q., Jeff.
Le matin à Paris, et le soir dans les airs: une seule constante, un magnifique ciel bleu et la chaleur d'un été qui pointe enfin le bout de son nez !
À la sortie du travail, direction l'Anglettaz avec quelques cafards volants pour aller profiter des derniers rayons du soleil. L'air est trop stable pour espérer s'élever haut, mais nous devrions au moins arriver à "zéroter" devant le décollage !
Vers 18h45, nous nous élançons un par un dans les airs. Le vent est faible mais quelques petites bouffées suffisent à nous autoriser un décollage face-voile.
Les conditions en vol sont assez douces, les thermiques timides mais suffisants pour prolonger le vol (mon 70-ème, tout rond !) environ une heure.
Une vingtaine (!!!) de rapaces sont aussi sur les lieux, ce qui rend notre vol magique: nous planons au coté de nos hôtes, qui n'ont l'air ni dérangés ni effrayés de notre présence... Nous nous frôlons parfois à quelques mètres, je trouve cela pour ma part assez fabuleux ! Les thermiques sont littéralement matérialisés par des hordes d'oiseaux: c'est donc les doigts dans le nez que nous pouvons nous y plonger.
J'arriveau bout d'un petit moment à m'élever suffisemment haut pour que la vue se dégage jusqu'au Mont Blanc. je m'autorise alors quelques instants de contemplation, avant de retourner jouer avec nos nouveaux amis rapaces.
Et puis vers 19h30, tout se calme et nous nous laissons doucement glisser jusqu'à l'atterissage dans un air tout doux, face au soleil qui rosit.
Un pur moment de bonheur...
Le matin à Paris, et le soir dans les airs: une seule constante, un magnifique ciel bleu et la chaleur d'un été qui pointe enfin le bout de son nez !
À la sortie du travail, direction l'Anglettaz avec quelques cafards volants pour aller profiter des derniers rayons du soleil. L'air est trop stable pour espérer s'élever haut, mais nous devrions au moins arriver à "zéroter" devant le décollage !
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| Monsieur le président se prépare. | Lionel prêt à décoller. |
Vers 18h45, nous nous élançons un par un dans les airs. Le vent est faible mais quelques petites bouffées suffisent à nous autoriser un décollage face-voile.
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| Le président au décollage. | Lionel en l'air. |
Les conditions en vol sont assez douces, les thermiques timides mais suffisants pour prolonger le vol (mon 70-ème, tout rond !) environ une heure.
Une vingtaine (!!!) de rapaces sont aussi sur les lieux, ce qui rend notre vol magique: nous planons au coté de nos hôtes, qui n'ont l'air ni dérangés ni effrayés de notre présence... Nous nous frôlons parfois à quelques mètres, je trouve cela pour ma part assez fabuleux ! Les thermiques sont littéralement matérialisés par des hordes d'oiseaux: c'est donc les doigts dans le nez que nous pouvons nous y plonger.
J'arriveau bout d'un petit moment à m'élever suffisemment haut pour que la vue se dégage jusqu'au Mont Blanc. je m'autorise alors quelques instants de contemplation, avant de retourner jouer avec nos nouveaux amis rapaces.
Et puis vers 19h30, tout se calme et nous nous laissons doucement glisser jusqu'à l'atterissage dans un air tout doux, face au soleil qui rosit.
Un pur moment de bonheur...